L’esbroufe

Pour donner une bonne impression à la traduction, il faut bien traduire le début. C’est la première impression qui compte. L’attention se détend peu à peu. Et ensuite, il faut relire très soigneusement la fin.

Naturellement, quand on sait à qui va le scénario, c’est plus facile. On soigne particulièrement le comédien français qui se désintéressera complètement de l’erreur dans le texte de son partenaire. De toute façon, le texte sera transformé pendant ou après le tournage et un adaptateur se chargera ensuite de lui redonner unité et qualité, ah, ah !

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